Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

en douceur

27 mai 2012

j'ai imaginé

J'ai imaginé

 

J'imaginais que je posais ma main sur ta joue délicate.

J'imaginais que ma bouche se posait sur ta joue.

J'imaginais qu'ensuite, du bout de mes lèvres, je t'embrassais délicatement le long de ton épaule, remontant sur ta nuque et glissant jusqu'au lobe de ton oreille, le mordillant, en sentant mon souffle te murmurer, ôh combien, ton sourire me transportais...

Ma main, délicatement, caressait tes pomettes, pour glisser sur tes cheveux dégageant complètement ta gorge...

Je voulais savoir où je pouvais glisser doucement ma main, sachant qu'elle tournait autour de ta gorge et que la douceur de ta peau la faisait glisser avec volupté sur ton épaule pour te saisir, pour approcher ton visage du mien et t'embrasser avec délectation...

Je te couvais volontiers de tendres et doux baisers sur tes joues, ton cou, tes lèvres, ta gorge, autour de ta poitrine que j'avais légèrement dégagé...

Tu t'allongeais en te cambrant pour gonfler ainsi ta poitrine vers moi, me laissant titiller, du bout de ma langue, le bout de tes tétons durcissant de plaisir...

Ma main passait dans le creux de tes reins pour soutenir la courbure de ton corps puis je glissais encore sur ton ventre, passant d'un côté à l'autre en faisant une ronde de tous petits baisers...

Ensuite, on laissait tomber ta couette au sol. Je fais glisser ton pantalon sur tes jambes, l'accompagnant doucement alors je découvrais ton fruit défendu...

Doux, lisse, ma main glissait le long de l'intérieur de ta cuisse pour venir effleurer tes lèvres chaudes et humides. Ma bouche continuait à embrasser doucement ton ventre de plus en plus bas jusqu'à l'orée de ta douce pilosité...

Puis avec douceur, ma bouche parcourrait l'intérieur de tes cuisses, passant d'une aisne à l'autre, l'embrassant tendrement et suce-autant légèrement...

Ma main appuyait entre tes seins gonflés à souhait, tu la prenais pour mettre mon pouce dans ta bouche au moment où, habilement, je déposais de tous petits baisers sur le bord de tes lèvres de plus en plus chaudes et de plus en plus humides...

Ensuite, de ma langue, je glissais doucement en toi et remontais jusqu'à dégager ton clitoris tendu, tournoyant doucement, l'effleurant et t'arrachant une légère décharge...

Puis chaque coup de langue se faisant de plus en plus insistant sur ton sexe et ton clitoris, tu commencais à gémir, à te tordre de désir. Puis j'accélérais pour que tu ne te maitrise plus...

Mes mains glisseaient sous tes fesses pour approcher ton fruit au plus près de mon visage. Je relevais les yeux pour les plonger dans les tiens que tu peinais à garder ouvert sous cette montée de plaisir intense...

Quand je te sentais au bord de la libération, je remontais doucement sur toi pour venir déposer mon sexe aux portex du tien. Je commencais par pénétrer doucement mon gland en toi, pour ressortir, sentant la chaleur humide de ton corps, le mien se tendrais de plus en plus...

Puis je venais un peu plus loin pour me retirer de nouveau, le tout dans un rythme plus doux que le plus grand des slows. A chaque pénétration de ton corps chaud, je venais encore plus en profondeur pour effectuer des vas et vients de plus en plus amples, puis mon sexe en toi...

Chaque petits coups de reins venais appliquer le bas de mon ventre contre le bas du tien, stimulant tous tes sens. Dans un élan d'amour et de plaisir, on partait dans une danse déchainée de tendres baisers langoureux, se laissant aller à un rythme fou entre nos corps et nos lèvres...

Mes mains dans tes cheveux et sur ta hanche, tes mains sur mes épaules, pénétrant tes ongles de plus en plus profondément, je te sentais monter. Je sentais tes jambes serrer ma taille de plus en plus fort, m'invitant à te satisfaire de vas et vients de plus en plus denses dans le creux de tes reins...

Chaque gémissement rauque que tu poussais me transporter vers un plaisir des plus intenses. Dans un dernier coup de reins, tu t'abandonnais complètement, laissant ton corps manifester toutes tes sensations les plus épanouies. Je partais aussi en même temps que toi...

Toujours en toi, complètement relâché tous les deux, les yeux dans les yeux, on finissait ce moment de tendresse avec de doux et tendres baisers de manière insatiable...

La nuit nous appartenait... On remettra ça... On ne s'arrêtera plus...

Publicité
Publicité
Publicité
Archives
Publicité